Παραδείγματα από το σώμα κειμένου για Tess
1. Le début est particuli';rement réussi, qui résume les tribulations d‘Oliver jusqu‘ŕ sa fuite de l‘orphelinat, évoquant un Tess (1'7', d‘apr';s Thomas Hardy) d‘heureuse mémoire.
2. Autant dire que le photographe se saisit des tirages de la collection Auer comme des tess';res d‘une mosaďque qui montrerait un visage en noir et blanc, mélancolique, littéraire.
3. Jane aime secr';tement son boss, mais voilŕ que débarque Tess, sa sśur, incarnée par la nouvelle Cameron Diaz, Malin Akerman (Les Femmes de ses ręves). Katherine Heigl balance des sourires timorés ŕ tout va, minaude ŕ la perfection et traverse le film avec un aplomb déconcertant.
4. Suivront, entre autres, sur la męme veine: Mazel Tov ou le mariage (1'68), Le Cinéma de papa (1'70), Sex–shop (1'72), Le Mâle du si';cle (1'75), La Premi';re Fois (1'76) ou encore, La Débandade (1'''). 1'70 Avec L‘Enfance nue de Maurice Pialat puis Tess de Roman Polanski, il s‘impose en producteur avisé. Il est capable de soutenir les auteurs qui comptent: Patrice Chéreau (Hôtel de France, 1'87, et La Reine Margot, 1''4), Christian Vincent (La Séparation, 1''4) ou encore Julian Schnabel (Le Scaphandre et le papillon, 2007) et Abdel Kechiche (La Graine et le mulet, 2007). Et, simultanément, il donne ŕ la France de joyeuses pantalonnades, celles de Claude Zidi, Jean Yanne, Alain Chabat et, bien s$';r, Dany Boon, dont il finance Bienvenue chez les Ch‘tis. © Le Temps, 200' . Droits de reproduction et de diffusion réservés.